In de aanloop naar ons 7e jaarlijkse Iftar-diner op 25 mei delen we onze ##Sverhalen over hoop geschreven door de vluchtelingen in onze centra in Libanon.
Reserveer nu je plaats voor de iftar: https://sboverseas.org/…/even…/7th-annual-iftar-dinner-2019/

Frans en bas

34-year-old woman in Beirut

My life in Syria was good, we had our own house. We had a cow, chickens and plenty of land to grow trees. We did not have a lot of money, but at least we were happy. Now living in Lebanon, things are good… not because life here is good, but because I have faith and I can’t do anything about our current situation. By coming to the sessions at the Bukra Ahala center, I am learning new things that I didn’t know before. Now I know the difference between right and wrong when it comes to the relationships with our children and handling them and now our children know how to be good for each other and the neighbors.

Femme de 35 ans, à Beyrouth

Nous avions une belle vie en Syrie, nous avions notre propre maison. Nous avons une vache, des poules et des terres pour faire pousser des arbres. Nous n’avions pas beaucoup d’argent, mais au final nous étions heureux ? Maintenant, nous vivons au Liban, les choses sont belles… mais pas parce que la vie ici est belle, mais parce que j’ai confiance et je ne peux rien faire à propos de la situation actuelle. En arrivant au centre Bukra Ahla, j’ai appris beaucoup de chose que je ne connaissais pas avant. Maintenant, je connais la différence entre le bien et le mal en ce qui concerne les relations avec nos enfants et leur éducation, et maintenant nos enfants savent comment être bien les uns pour les autres et avec les voisins.

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